Au Burkina Faso la terre demeure le principal capital pour les populations en raison de son caractère stratégique pour le développement socio-économique du pays. Durant ces trois dernières décennies le foncier fait l'objet de convoitise attire les investissements et est source de richesse économique. Cet intérêt accru pour la terre n'est pas sans conséquence sur sa gestion. La gouvernance foncière du pays se superpose aux règles foncières locales souvent fondées sur l'oralité. On est passé de la loi qui conférait la propriété exclusive de la terre à l'État à l'extension de la propriété à trois entités . Cette dernière formule de la législation en vigueur depuis 2012 est de nouveau contestée par certains citoyens et associations activistes des questions foncières avec des ramifications au niveau de quelques acteurs politiques. La polémique est vive sans cependant être sous-tendue par des propositions alternatives convaincantes. Le mal est profond et nécessite de vigoureuses mesures. C'est ce qui nous a motivé à approfondir notre réflexion sur le thème L'accaparement des terres au Burkina Faso : cas de la province du Kadiogo .
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