Expériences vécues par des femmes qui restent dans des relations de violence physique

Les femmes sont plus exposées au risque de subir des violences commises par des personnes à la maison ou des connaissances proches que par des étrangers et des inconnus. La violence domestique touche jusqu'à une femme sur deux en Afrique du Sud. La plupart des femmes peuvent garder secrètes des relations violentes soit par peur profonde de subir d'autres violences soit parce que cela est mal vu par une communauté qui adhère à des tabous sociaux interdisant de parler ou même d'évoquer la réalité des incidents de violence domestique. Cette étude phénoménologique examine les expériences réelles des femmes qui restent dans des relations de violence physique.